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Ponctuation, accentuation, typographie par Louis Delorme

Par Louis Delorme

 

 

PONCTUATION - ACCENTUATION - TYPOGRAPHIE

 

Lorsque je fréquentais l’école primaire, notre maître soulignait l’importance de la ponctuation pour lever l’ambiguïté possible d’une phrase, parce qu’il fallait que celle-ci reflétât parfaitement la pensée exprimée. En dictée, il nous annonçait seulement les points, sans préciser lesquels.  C’était à nous de savoir s’il s’agissait d’un point simple, d’un point d’interrogation ou d’exclamation, selon le contexte et l’intonation de la voix. Les accents aussi avaient une importance capitale. Notre maître, encore lui, nous disait : « Pensez-y, sur le mot déjà, il faut trois choses, l’accent aigu sur le e, l’accent grave sur le a et aussi le point sur le j. N’oubliez pas, ajoutait-il, que la beauté de notre langue vient de ses accents qui multiplient les voyelles et donc les sons, les notes si vous préférez. Songez qu’il y a trois sons e accentués possibles : le é accent aigu, le è accent grave et le ê accent circonflexe, plus ouvert encore que le è. Quand il nous dictait on reconnaissait un passé simple à la première personne du singulier d’un imparfait le è : ai étant moins ouvert que le è : ais. » Nous faisions aussi la distinction entre le son in, que l’on prononce en écartant les lèvres et le son un que l’on dit en pinçant un peu le nez, chose que ne font pas la plupart des gens, ce qui leur permet de faire le calembour : Hein ? Deux ! qui nous serait passé au-dessus de la tête. Personnellement on me l’a fait plusieurs fois et je comprenais à chaque fois Inde ! Et pourtant, nous n’étions pas dans le Jardin de la France qui avait la renommée de parler le plus pur français.

  On est bien loin aujourd’hui de ces préoccupations. A l’époque, on n’avait pas encore proclamé la suprématie du flou et bien moins encore celle du n’importe-quoi qui fait florès aujourd’hui. La langue française nous était présentée comme la plus claire du monde et c’était pour cela, nous disait-on, qu’elle était la langue diplomatique par excellence. Les choses ont bien changé. On ne parle plus le français dans les cours d’Europe, fussent celles de Strasbourg ou de Bruxelles.

  La virgule marquait une courte pause, permettant de respirer. Elle séparait les termes d’une énumération, mettait en relief un mot, une expression, une apposition, ou un rejet ; le point virgule, lui, se distinguait assez difficilement du point : c’était une sorte de point avec reprise presque immédiate de la phrase. Le point quant à lui permettait une pause plus longue.  Il n’était pas dans le prolongement de l’idée mais amenait une idée nouvelle. Quant aux points d’interrogation et d’exclamation, selon que la phrase se continuait ou se terminait, on mettait, après eux, une majuscule ou pas. Et les points de suspension donc ! qui laissaient supposer tout ce qu’on voulait ! Sans oublier les deux points qui amorçaient une énumération ou une explication. Comme cela doit paraître rébarbatif à qui n’aime pas sa langue ! Comme je trouvais cela beau, émerveillé sans doute à la façon de M. Jourdain quand le maître de philosophie lui fait découvrir qu’il parle en prose tous les jours de sa vie ! Il y avait aussi, les fins de paragraphe, le retour à la ligne et l’alinéa nécessaire pour montrer que l’on changeait de partie.

  Et les guillemets donc ! et les parenthèses ! qu’il ne fallait pas oublier de fermer après les avoir ouverts ? Le trait d’union, court dans un mot composé, le petit tiret (quasi l’équivalent de la parenthèse) pour insérer une phrase qui développe l’idée mais qui ne doit pas l’interrompre, et le grand tiret qui, lui, permet de montrer que l’on change de personnage dans un dialogue.

  Que tout cela était fort beau ! comme aurait dit encore M. Jourdain.

  Aujourd’hui de nombreux poètes s’exercent à imprimer leurs œuvres, faute d’être reçus par les éditeurs qui ne publient que des textes à succès. A succès possibles, prévisibles, car il arrive que la réalité démente les perspectives annoncées. C’est une excellente initiative. Seulement voilà ! La plupart d’entre eux ignorent les règles de typographie que l’usage a consacrées depuis que Jean Gutenberg a eu le premier, non pas l’idée d’imprimer, mais celle de graver les lettres une par une, en creux, pour fabriquer un moule qui permettait de fondre un nombre considérable de caractères pour la même lettre. On pouvait alors redistribuer dans les casses les lettres, après impression, et s’en resservir, alors que jusque-là, chaque page était gravée dans le bois et ne pouvait qu’être utilisée au même endroit d’un même livre. C’était ça, le trait de génie de Gutenberg.

  Nos apprentis typographes ignorent souvent qu’on met une espace (en typographie le mot est féminin) devant les points d’interrogation et d’exclamation. Devant les deux points aussi et le point-virgule. En typographie, cette espace est plus étroite 1 que celle que l’on met entre les mots. Par contre, on ne met pas d’espace devant la virgule ou le simple point.

  Quand on lit un texte imprimé, on trouve fréquemment des guillemets ouverts en fin de ligne et d’autres fermés en début de ligne. De même pour les points d’interrogation et d’exclamation. Ah ! les secrets de l’informatique ! Il existe pourtant, sur les claviers, une touche (dite d’action rapide) qui consiste à mettre un espace obligé sans aller à la ligne : il s’agit de Ctrl-barre d’espace. Avec elle on évite tous les petits désagréments que j’ai indiqués.

  Une dernière remarque sur les majuscules. On nous  a tellement seriné à l’école primaire que les majuscules ne prenaient pas d’accent, ce qui est vrai lorsqu’il s’agit d’anglaise, de bâtarde, de cursive, mais cela est faux dès qu’il est question de polices utilisées en imprimerie, notamment la plus courante, le Vendôme, romain ou pas. La preuve, la voici : À É È Ê Î Ô. 

  Mais revenons à la ponctuation : beaucoup d’auteurs ont résolu le problème en abandonnant purement et simplement toute ponctuation, au nom de ce flou énoncé en début de propos. Une petite parenthèse : je me refuse à employer le mot auteure qui n’est pas fabriqué selon la formation historique de nos mots : on dit un directeur, une directrice, un parfumeur, une parfumeuse, un supérieur, une supérieure, certes ! mais ces deux derniers mots ne comportent pas la lettre t avant le suffixe eur, ce qui veut dire que dans auteure, on ne retrouve pas l’origine latine du mot. La voici : je me réfère au dictionnaire d’étymologie Larousse. Du latin auctor. Et justement, on trouve sous la plume d’Étienne Pasquier, (1560) l’emploi d’autrice, ce qui serait plus judicieux.

  Alors ponctuation ou pas de ponctuation ? Avec ou sans crème Chantilly ? Dans la gloire de mon père de Marcel Pagnol, le grand-père expliquait à ses petits-enfants, devant le chef-d'œuvre qu’est le Pont du Gard, que les maçons n’étaient plus que des noyeurs de pierres dans du ciment parce qu’ils ne savaient plus les tailler. N’en va-t-il pas de même avec la poésie ? Si on supprime tout, on n’a plus besoin de se demander s’il ne faut pas, ici une virgule, là plutôt un point-virgule, ailleurs un point d’exclamation. Le problème est résolu. Bien sûr, on va me trouver des arguments pour défendre l’absence de ponctuation. Mais je vais en trouver pour soutenir le contraire. Prenons ces quelques vers de Charles Baudelaire dans un poème des plus connus, l’Albatros :

Souvent, pour s’amuser, les hommes d’équipage

Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers,

Qui suivent, indolents compagnons de voyage,

Le navire glissant sur les gouffres amers. 

  Cet ensemble de virgules nous donne le rythme de la strophe, la pulsion, la respiration, en fait ressortir la syntaxe. Si je les supprime, c’est de toute façon au lecteur de les retrouver s’il veut bien entendre ou bien dire le texte. Et je ne vois pas une autre ponctuation possible.

Prenons maintenant une strophe de Guillaume Apollinaire dans le Guetteur mélancolique.

Je m’achemine vers la ville

Où rêve celui qui m’attend

Je viens à lui Mais m’attend-il

Voici les portes de la ville

Où j’ai laissé mon cœur d’antan

Ouvre si tu m’attends encore

C’est moi c’est moi ta bien aimée

On remarquera qu’Apollinaire met encore la majuscule au début de chaque vers. La majuscule au mot Mais, au milieu d’un vers, nous indique qu’il y a un point après le mot lui.  En fait, il faudrait encore un point après attend, un point d’interrogation après attend-il, un point ou point virgule après antan, deux points après encore, virgule après moi et point d’exclamation après aimée. En quoi cette ponctuation serait-elle gênante ? D’autant qu’il arrive à Guillaume Apollinaire de la mettre, cette ponctuation. Allons chercher dans ses Poèmes inédits :

 

Chérie ! tes seins ont des fleurs tristes,

Couleur de gants de magistrats

Chérie ! tes seins outres taries

Ont des fleurs brunes et leur espoir

Est orgueilleux. Chérie tes seins !

Il manque quelque chose après magistrats, des virgules de part et d’autre de outres taries mais l’essentiel y est.

Prenons enfin ces quelques vers de Paul Éluard : sous le titre RIDEAU, extrait de Les Yeux fertiles :

Une roulotte couverte en tuiles

Le cheval mort un enfant maître

Pensant le front bleu de haine

A deux seins s’abattant sur lui

Comme deux poings

Là encore, le poète conserve la majuscule au début de chaque vers. Si le lecteur oublie la virgule qu’il faudrait après mort l’auditeur croira qu’il s’agit de mord ( du verbe mordre ). Est-ce à dire que les poèmes ne sont faits que pour être lus dans l’intimité, en voyant leur orthographe ? Mais il arrive aussi à Paul Éluard de mettre la ponctuation :

SANS RANCUNE (extrait de Mourir de ne pas mourir )

Larmes des yeux, les malheurs des malheureux,

Malheurs sans intérêt et larmes sans couleurs.

Il ne demande rien, il n’est pas insensible,

Il est triste en prison et triste s’il est libre.

Alors, ponctuation ou pas de ponctuation ? Je ne trancherai pas. A chacun de faire comme il l’entend. Pour ma part j’y vois une facilité offerte au lecteur, la suppression d’une certaine ambiguïté ; je n’irai pas jusqu’à dire une forme de politesse envers le lecteur. A chaque auteur de faire selon ses goûts mais, en tout cas, qu’on ne fasse pas croire que la ponctuation, la typographie juste, la belle accentuation, ont quelque chose de ringard. Sinon qu’est-ce que le ringard ? La négligence, tout simplement, la paresse, voire l’ignorance.

 

 

 

1)       Mon premier ordinateur qui n’était qu’une machine à écrire un peu perfectionnée, permettait de faire des espaces de un, deux ou trois points (L’une des unités de mesure en typographie est le cicéro qui se divise en douze points.)

 

 

Louis DELORME


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