La poésie, universelle et libre, transcende les discours établis. Elle a plus que jamais toute sa place dans un monde en crise où le combat pour la culture et la paix ne font qu’un. Ce concours rejoint ainsi la mission de l’UNESCO et s’inscrit dans la Journée de la Paix et la Journée de la Poésie célébrées par l’UNESCO.
Ce concours, qui s’adresse à un large public à partir de six ans, donne la chance aux jeunes d’être des inventeurs de langage en osant mettre leur imagination au service de la paix. Elle se veut aussi un pont entre les générations et une promotion de la diversité culturelle, priorité de l’UNESCO.
Afin de valoriser la langue française, ce concours est destiné à toutes les personnes d’expression française. Francophonie et poésie ont été portées par de nombreuses personnalités dont l’ancien Président du Sénégal et poète, Léopold Senghor, qui a rappelé que le Français n’appartient pas exclusivement à la France.
Symbole de culture et de créativité, la langue française est un vecteur de démocratie et d’humanisme. Elle promeut ainsi les valeurs de l’UNESCO. Déclarée langue officielle et langue de travail de l’UNESCO, elle est mise à l’honneur lors de la Journée de la Francophonie, le 20 mars.
Ce concours, Un Poème pour la Paix, rejoint les objectifs de la CNFU qui valorise la culture et la francophonie à travers le monde, et permettra de donner une visibilité à ses activités.
Thierry Sajat, président de l’Académie de la Poésie Française, et Pauline Ambrogi, initiatrice du concours