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Aristide Bruant : le millionnaire de la chanson des humbles

Grande figure montmartroise, immortalisée par le peintre Toulouse-Lautrec, Aristide Bruant est un immense poète de la rue et du vieil argot parisien. Invité de la conférence de l’Académie de la Poésie Française du 10 avril 2024, Gérard Letailleur a déroulé la vie de l’homme de plume, l’homme de scène et le patron d’établissement.

 

 

Aristide Bruant naît le 6 mai 1851 à Courtenay dans le Loiret dans une famille de petite bourgeoisie. A l’école, il se montre très brillant notamment en français et en musique (le curé lui donnait des leçons). Il rejoint le lycée impérial de Sens et collectionne les premiers prix de grec, de latin, d'histoire et de musique vocale. En 1862, il compose sa première chanson.

 

À la fin de l'année 1867, il doit quitter le lycée Impérial, car son père — alcoolique et ruiné — n’a pu payer les derniers trimestres. Ces revers de fortune, conduisent la famille à quitter Courtenay pour Paris, où les déménagements se succèdent afin de fuir les créanciers. De 1863 à 1867, de Ménilmontant à Montmartre, ils effectuent cinq déménagements. Son père décide alors qu'Aristide est en âge de travailler et le conduit chez un avoué. Il peut ainsi faire vivre toute sa famille. Mais, du fait de la traque régulière de ses parents par des huissiers, il doit changer de métier et devient apprenti bijoutier, puis ouvrier bijoutier. Il travaille l'or et l'argent et sertit des pierres précieuses dans les arrière-boutiques de quelques bijoutiers. Il suit ses parents à travers Paris et la banlieue, fréquentant les restaurants pour pauvres, les cafés d'ouvriers, côtoyant les malheureux, les révoltés, les filles et les mauvais garçons. Il écoute leurs confidences et s'initie, à leur contact, à leur jargon.

 

Pendant la guerre de 1870, il s’engage comme franc-tireur dans la compagnie des « gars de Courtenay » pour défendre l’Empire. De retour à la vie civile, il entame une carrière de chanteur de caf’conc et connaît un certain succès. Au cours de ses déambulations dans le vieux Paris, il écoute les « Alphonses » (souteneurs) et les « marmites » (prostituées). Il se livre à l’écriture de poèmes et de chansons. Il fait une rencontre décisive avec Jules Jouy. goguettier, poète et chansonnier montmartrois qui lui ouvre les portes du Chat Noir en 1881. Ce cabaret, aménagé par Rodolphe Salis dans un ancien bureau de poste situé au 84, boulevard Rochechouart à Paris, est à la mode d’autant que Montmartre est l’épicentre de la bohème et de la vie nocturne où se croisent littérateurs et artistes.Aristide Bruant naît le 6 mai 1851 à Courtenay dans le Loiret dans une famille de petite bourgeoisie. A l’école, il se montre très brillant notamment en français et en musique (le curé lui donnait des leçons). Il rejoint le lycée impérial de Sens et collectionne les premiers prix de grec, de latin, d'histoire et de musique vocale. En 1862, il compose sa première chanson.

 

À la fin de l'année 1867, il doit quitter le lycée Impérial, car son père — alcoolique et ruiné — n’a pu payer les derniers trimestres. Ces revers de fortune, conduisent la famille à quitter Courtenay pour Paris, où les déménagements se succèdent afin de fuir les créanciers. De 1863 à 1867, de Ménilmontant à Montmartre, ils effectuent cinq déménagements.Son père décide alors qu'Aristide est en âge de travailler et le conduit chez un avoué. Il peut ainsi faire vivre toute sa famille. Mais, du fait de la traque régulière de ses parents par des huissiers, il doit changer de métier et devient apprenti bijoutier, puis ouvrier bijoutier. Il travaille l'or et l'argent et sertit des pierres précieuses dans les arrière-boutiques de quelques bijoutiers. Il suit ses parents à travers Paris et la banlieue, fréquentant les restaurants pour pauvres, les cafés d'ouvriers, côtoyant les malheureux, les révoltés, les filles et les mauvais garçons. Il écoute leurs confidences et s'initie, à leur contact, à leur jargon.

 

Pendant la guerre de 1870, il s’engage comme franc-tireur dans la compagnie des « gars de Courtenay » pour défendre l’Empire. De retour à la vie civile, il entame une carrière de chanteur de caf’conc et connaît un certain succès. Au cours de ses déambulations dans le vieux Paris, il écoute les « Alphonses » (souteneurs) et les « marmites » (prostituées). Il se livre à l’écriture de poèmes et de chansons. Il fait une rencontre décisive avec Jules Jouy. goguettier, poète et chansonnier montmartrois qui lui ouvre les portes du Chat Noir en 1881. Ce cabaret, aménagé par Rodolphe Salis dans un ancien bureau de poste situé au 84, boulevard Rochechouart à Paris, est à la mode d’autant que Montmartre est l’épicentre de la bohème et de la vie nocturne où se croisent littérateurs et artistes.

Cape noire et écharpe rouge. Lors de son entrée dans ce cénacle, fréquenté par l'élite poétique, Aristide Bruant compose la Ballade du Chat Noir, chanson célèbre encore aujourd'hui. Il troque alors le cérémonieux complet-jaquette contre une tenue de garde-chasse, vareuse de velours côtelé noir avec culotte assortie, enfoncée dans de grosses bottes noires, chemise et cache-nez écarlates, en guise de manteau une immense cape noire et, comme couvre-chef, le feutre noir à larges bords que son ami Toulouse-Lautrec a souvent croqué de face, de profil ou de dos. Le succès est là mais le cachet est maigre. Il connaît ses premiers succès accompagné au piano par Charles Sivry.

 

Il puise son inspiration dans le monde des filles, des souteneurs, des ivrognes, des voleurs, des assassins, en un mot de ceux que la loi finira par trouver pour les mener à la guillotine. Bruant compose une musique d’orgue de Barbarie aux échos liturgiques, des refrains populaires repris facilement en chœur par un public enthousiaste, selon un schéma immuable : introduction, développement de l’intrigue et chute ou morale.

 

La fortune commence à sourire au chansonnier lorsque Rodolphe Salis, effrayé par les voyous du quartier, abandonne le cabaret du boulevard Rochechouart, pour installer le Chat noir rue Victor-Massé, une petite rue parallèle au boulevard. Avec mille francs prêtés par un admirateur, Aristide Bruand s'installe alors dans ce local déserté qu'il rebaptise le Mirliton, du nom d'un instrument de musique populaire et bon marché.

Le soir de l'inauguration du Mirliton, il n'y a que trois clients. Dépité, Bruant se met à les insulter copieusement : le public apprécie. C'est ainsi qu'il crée son image de marque. Par opposition au style affecté de Rodolphe Salis, gentilhomme d'opérette, il choisit la grossièreté. Tandis que Rodolphe Salis salue ses clients du titre de monseigneur, Bruant les appelle crapules. Lorsque Rodolphe Salis affecte la tenue d'un général en civil, Bruant s'habille en gouape. Chez Bruant, pour saluer l'arrivée d'un client, on chante : « Oh c'te gueule, c'te binette. » Ensuite, debout sur une table, Aristide Bruant donne d'une voix forte ses instructions aux gens du monde par la renommée : « Tas de cochons ! Gueules de miteux ! Tâchez de brailler en mesure. Sinon fermez vos gueules. »

 

Ses chansons populaires, sa présence en scène, sa voix rauque et puissante, et sa carrure font de lui un monument de la chanson française réaliste. Il est considéré comme un des plus grands poètes de l'argot de la fin du xixe siècle et du début du xxe siècle.

 

Il est l'un des créateurs de la chanson réaliste, mouvement qui a perduré jusqu'au milieu du xxe siècle avec notamment Edith Piaf  comme l'une des dernières interprètes.

L’héritier de François Villon. Le naturalisme souvent brutal de Bruant est toujours adouci par la grande pitié que lui inspire ses personnages misérables. François Coppée tenait Bruant pour un descendant de François Villon et lui ouvre les portes de la société des gens de lettres en 1892 : « En sortant de la chambre des horreurs de son livre, dit le poète lors de son discours de réception , on emporte cette pensée triste, et consolante à la fois, que le vice et le crime connaissent la souffrance et que les monstres sont à plaindre ». Bruant se disait profondément ému devant l’effroyable détresse des déshérités condamnés par leur naissance à la misère, à l’abjection et souvent à l’infamie. Il a voulu plaider leur cause en clamant à la face des riches, des jouisseurs insouciants, la désespérance des sans logis, sans feu et sans pain, victimes de lois mal faites et d’iniquités sociales.

 

Parmi le public qui s’entasse au Mirliton, outre François Coppée, on peut voir Villiers de l’Isles-Adam, Jean Richepin, Mallarmé, Zola, Banville, Anatole France, Lucien Guitry, Courteline, Toulouse Lautrec, le prince de Galles. L’atmosphère extraordinaire du Mirliton a inspiré la pièce Catulle Mendès et Courteline « Les joyeuses commères ».

Bruant tient ce rôle chaque soir pendant dix ans, puis part pour des tournées en province et à l'étranger. Auteur de seize romans et de six pièces de théâtre, il se retire à Courtenay vers 1900. Mais ses chansons, réunies en deux recueils : Dans la rue (1889) et Sur la route (1899), poursuivent leur carrière ; tandis que certaines d'entre elles (Les Canuts, Nini-Peau-d'chien) sont « passées dans le folklore ». Toute une tradition chansonnière, de Carco à Mouloudji, s'inscrit dans l'univers créé par le chantre de Paris-marlou.

 

Marquis de Carabas. Avec la gloire, le chansonnier connaît la fortune; aux bénéfices du Mirliton s'ajoutent de confortables droits d'auteur et de gros cachets. Ainsi, après une dizaine d'années, il s'offre un château à Courtenay, grâce à Nini peau d'chien, à la Méloche, à Toto Laripette et à la Filoche, marlou héroïque qui mourut avec dignité sur l'échafaud.

 

En 1897, le célèbre journaliste et critique dramatique, Adolphe Brisson fait le récit d'une visite à Bruant, à Courtenay, dans Portraits intimes :« Le poète des gueux habite un château où il mène le train d'un seigneur moyenâgeux, il chasse, il pêche, il a une meute de chiens fidèles et dressés. Ses vassaux sont représentés par un garde, le père Rata, un jardinier, le père Bajou, et un fermier et une nombreuse domesticité. Les pièces de son logis sont luxueusement meublées de bahuts, de fauteuils, de bibelots. Il me raconte qu'il a acheté vingt-cinq hectares de prairies, un bras de rivière, une île, un moulin. M. Bruant est un autre marquis de Carabas ! »

 

Le chansonnier populaire, fondateur du Mirliton, que l'on aurait pu croire attaché à Montmartre, sa seconde patrie si souvent chantée, tint à Adolphe Brisson des propos pour le moins révélateurs :« Pendant huit ans, j'ai passé mes nuits dans les bocks et la fumée ! J'ai hurlé mes chansons devant un tas d'idiots qui n'y comprenaient goutte et qui venaient, par désœuvrement et par snobisme, se faire insulter au Mirliton… Je les ai traités comme on ne traite pas les voyous des rues… Ils m'ont enrichi, je les méprise : nous sommes quittes ! » Et contemplant son vaste domaine, le millionnaire de la chanson des humbles, ajoute : « On respire ici !… ce n'est pas comme à Montmartre !… je suis rudement content d'être sorti de ce cloaque ! »

 

Il tente la politique en mai 1898, et se présente aux élections législatives à Belleville -Saint Fargeau, dans le quartier des ouvriers. les déclarations du « Candidat du peuple » s’affichent sur les murs  : « Tous les ennemis de la féodalité capitaliste voteront pour le poète humanitaire, pour le glorieux chanteur de Belleville. C'est à Belleville Saint-Fargeau que Bruant a débuté, c'est à Belleville qu'il a connu ses premiers succès, c'est à son vieux Belleville qu'il revient logiquement par reconnaissance, etc. » En dépit des multiples réunions électorales au cours desquelles il chante une partie de son répertoire ainsi que son programme politique, il fait un flop avec seulement 525 voix.

La vie l’éprouvera durement. Son fils Saint-Cyrien trouve la mort pendant la guerre de 14-18. Très éprouvé, il se retire de la chanson pour se consacrer à l'écriture, mais continue à donner des spectacles, jusqu'à un ultime retour en 1924, où il fait un triomphe. Il meurt à Paris l'année suivante, le 11 février 1925, au 17 rue Christiani, où une plaque commémorative lui rend depuis hommage. Il est enterré à Subligny, dans l'Yonne.

 

Mireille HEROS

 

Bibliographie

Si Montmartre et la Bonne Franquette nous étaient contés – Gérard Letailleur

La chanson naturaliste – Louise Rypko Schub – New-York 1976 - site persée.fr

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