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Colette

Lettres à sa fille, 1916-1953

 

C’est Anne de Jouvenel, nièce de Colette de Jouvenel, fille unique de Sidonie-Gabrielle Colette et de son grand-père Henry de Jouvenel, qui, après 20 ans la mort de sa tante a publié la correspondance que mère et fille s’échangeaient. Elle lui avait demandé de la publier le plus tard possible, comme une sorte de libération pour elle.

Dans ce recueil Anne de Jouvenel confesse qu’il lui a fallu une grande détermination car les lettres ont un caractère si intime qu’elle en était retenue. Un travail dur car Colette ne datait presque jamais ses lettres : faire revivre la petite Colette qui repose à côté de sa mère au cimetière du Père-Lachaise. Elle confesse de se délivrer du poids d’un héritage exceptionnel.

Le coffre contenant les lettres a disparu, il a été volé juste après le travail achevé et prêt pour l’imprimerie, un vol ciblé, qui reste dans le mystère.

En septembre 1916, quand la correspondance entre mère et fille commence, Colette mère était en Italie, sur le Lac de Come, au Grand Hôtel Villa d’Este de Cernobbio (où entre autre elle avait connu Gabriele D’Annunzio et l’actrice Eleonora Duse, son amant). En mai de cette année-là 1916 l’Italie était entrée en guerre contre l’Autriche et la Hongrie et son mari Henry de Jouvenel, qui combattait à Verdun, avait été envoyé dans une unité française sur le front italien.

La petite Colette, qui avait 3 ans, née en 1913, était élevée par Miss Draper, sa nourrice, à Castel-Novel, en Corrèze, dans le Limousin, la propriété de son père.

Cette correspondance, publiée dans son intégralité, forme le seul témoignage, précieux, d’autant plus car « il s’agit d’une correspondance intime, et l’idée qu’elle soit dispersé c’est un scandale », selon la pensée de Colette.

650 lettres. Comme un puzzle à composer.

Qui était Colette ? J’ai appris beaucoup d’elle en lisant cette correspondance.

Une chose est sure c’est qu’elle était une mère hors du commun, pas comme les autres. Très souvent accusée d’être une mauvaise maman, quoique les Editions du Trianon aient annoncé, en 1927, un écrit de Colette, un supplément, au Traité de l’éducation des filles de Fénelon (1687), mais qui n’était resté qu’un projet.

Le rapport mère-fille n’est jamais facile, on le sait, des fois cela peut devenir très difficile. A cette époque-là on le sait l’éducation des filles était différente de celle d’aujourd’hui : les enfants n’avaient pas de droits, ils devaient se taire devant les adultes, ils devaient obéir, même si leur parents les aimaient. L’autorité des parents n’était jamais mise en cause, le respect était dû, on avait l’obligation de faire honneur à la famille.

C’était ça qui était demandé aux filles.

Donc Colette éducatrice, tendre maman et sévère, dure, au même temps. Dans le roman L’étoile vesper, qui est un recueil de souvenirs (publié en 1946), elle avait raconté que sa fille était arrivée tard, quand elle avait déjà 40 ans, elle confesse sa peur à être une maman inadéquate, pas capable de son rôle, pas capable d’éduquer et d’aimer. Comme si elle avait eu peur d’aimer, de se donner, de s’engager dans son rôle de mère.

Dans cette correspondance il y a une magie : la magie des mots, avec leur poids, leur beauté, cette correspondance qui couvre une période qui va de 1916 à 1953, donc qui s’étale sur un arc temporel de 37 ans et qui, à mon avis, plus que ses romans, permet de comprendre qui était Colette.

L’écriture, les spectacles (car Colette était aussi comédienne, mime et actrice), son activité comme journaliste, ses voyages (en 1926 elle avait été au Maroc avec Maurice Goudeket invités au Palais du pascià de Marrakech), ses conférences, ses amis, et après la souffrance physique (son arthrite à la hanche qui accablait les dernières années de sa vie) sont autant d’éléments qui révèlent tous des aspects de sa personnalité.

Auteure, actrice, danseuse, pantomime, elle a vécu sa vie en faisant fi des convenances. Une passion, la sienne, qui participe de la construction d’une image transgressive, associée au libertinage amoureux et au monde sulfureux du music-hall. En avance sur son temps, Colette scandalise la Belle Epoque. Elle célèbre la femme. Ses textes en témoignent tout autant que sa vie. Les hommes se suivent et souvent la déçoivent. Elle prend sa revanche dans ses romans. Elle quitte Willy, son premier mari infidèle pour des amours saphiques avec Mathilde de Morny, une femme transgenre qu’elle quittera pour Henri de Jouvenel cinq ans plus tard.

Infidèle lui aussi, Colette aura une relation avec son beau-fils, ce qui lui inspirera Le Blé en herbe en 1923. Deux ans plus tard elle rencontre Maurice Goudeket et il sera le gardien des derniers jours de la grande écrivaine.

Les lettres de Colette montrent toutes les caractéristiques d’une mère inimitable, pas comme les autres, une mère très occupée par ses amours et prise constamment par le souci de vivre sa propre vie, sa vie à elle.

Le véritable échange entre mère et fille ne commence pas quand la petite Colette était enfant, mais beaucoup plus tard, en particulier pendant la guerre et leur lien se renforce au cours des années. Et avec le temps elles apprennent à s’aimer toujours en peu plus.

La dernière lettre de Colette à sa fille « Mme de Jouvenel » est gardée dans le Musée d’art moderne Richard Anacréon à Granville, en Normandie, elle est datée Deauville 23 juillet 1953, dans laquelle l’écrivaine raconte à sa fille le plaisir « du parfum de la mer et la vue des gens qui se promènent sur la plage ».

Le 3 aout 1954 Colette meurt dans son appartement à Paris, le 7 il y aura les funérailles d’Etat dans la cour d’honneur du Palais Royal Musée du Louvre.

Une question surgit : pourquoi Colette a donné à sa fille pour prénom son propre nom ?

Faute d’imagination ? Narcissisme ?

On ne le sait pas. Bientôt la fille fut appelée « petite Colette » pour la distinguer de la « Grande, Unique » Colette.

Et en plus elle surnomme sa fille « Bel-Gazou », « belle langue » en provençal, en utilisant le même surnom qui lui avait donné son père à elle, le capitaine Colette.

Vol d’identité ? On ne le sait pas. Donc une autre question surgit : sa fille, n’avait-t-elle pas droit à un prénom et à un surnom à elle ? Cela relevé d’un certain égocentrisme de l’écrivaine.

Sa fille, Colette de Jouvenel, dans sa vie sera antiquaire (mariée, divorcée sans enfants, nombreuses relations amoreuses) avec des boutiques à Paris à la rue de Verneuil et à la rue Bonaparte et à Beaumont-du-Gâtinais, même si elle avait écrit des articles en collaborant avec le revues « Harper’s Bazaar », « Vogue » et « Femmes françaises » en écrivant aussi des articles pour l’éditeur Léon Delanoë, son ami.

Pendant son enfance la petite Colette vivait à Castel-Novel dans le Corrèze (dans le Périgord), elle écrivait beaucoup à sa maman, très fréquemment, mais les lettres de réponse de sa mère étaient rares.Leur correspondence est faite de petites choses du quotidien.

Dans une des lettres, à l’occasion de son 6 ème anniversaire, la petite Colette écrivait : «Aujourd’hui c’est mon anniversaire, j’ai reçu un bouquet de fleur, j’aurais aimé t’embrasser fort chère maman ».

En 1922 elle écrivait à sa maman: « Demain c’est Pâques, quand ’est-ce-que tu viens ? » «Merci chère maman pour l’œuf de chocolat que tu m’as envoyé…j’aurais besoin de timbres, de papier, d’enveloppes à lettres, de livres, de gants… »

A 9 ans, en 1923, elle écrivait : « Je t’en prie, j’ai tellement désir de te revoir…je t’ai attendu longtemps et quand j’ai vu que tu n’arrivais pas je me suis dite que probablement tu étais malade… » ; « tu me manques beaucoup, j’aimerais t’embrasser comme font toutes les petites filles avec leurs mamans mais tu es toujours loin…peut être que si j’avais été juive j’aurais reçu plus de chaleur de ta part car les filles juives sont toujours à coté de leur maman ».

A donner à la petite Colette l’amour dont elle a besoin sera une tante, « Aunty Manette » du côté de son père, et sa marraine.

Habituée donc à être toujours loin de ses parents, de son père mais surtout de sa maman, envoyée à droite et à gauche, en Angleterre aussi, éduquée à avoir toujours des bonnes manière et un langage impeccable, la petite Colette, âgée entre 9 et 10 ans, raconte comment elle a appris à grandir vite et en solitude et à souffrir aussi de jalousie en sachant que sa maman était toujours entourée de « ses copines » : Germaine Patat, couturière et sa maîtresse, la comédienne Marguerite Moreno, la chroniqueuse-journaliste Annie de Pène et l’actrice du cinéma star du muet Musidora, dite Musi.

Nous avons témoignage d’une seule vacance passée ensemble mère et fille, en 1928, quand la petite Colette avait 14 ans, au soleil de Saint-Tropez.

L’année terrible pour la petite Colette est sans doute le 1935, quand elle avait 21 ans, et pour différentes raisons.

Elle se marie avec le docteur Dausse, pour se séparer juste trois mois après et son père, Henri de Jouvenel, meurt soudainement le 5 octobre de cette année-là sur un banc des Champs-Élysées.

En avril 1935 Colette se marie pour la troisième fois, avec Maurice Goudeket.

Mère et fille s’éloignent toujours plus.

En 1941 (la petite Colette avait 27 ans) la publication du roman « Julie de Carneilhan », dans lequel Colette écrivaine ravive ses souvenirs en rapport à sa vie mouvementée avec Henry de Jouvenel, blesse la petite Colette car il paraît que son père a servi de modèle à Colette pour décrire le personnage du roman, Espivant, un séducteur malhonnête et sans scrupules.

Colette écrivaine se défend en disant que c’est n’est pas lui, mais la rumeur court.

Et la distance entre mère et fille se fait aussi géographique.

Pendant la guerre, en juin 1940, la petite Colette est à Curemonte, en Aquitaine, dans un château en ruine transformé en habitation dans lequel elle accueille refugiés de guerre de toute sorte. Elle arrive à convaincre sa mère de la rejoindre mais Colette, arrivée auprès de sa fille avec son mari Goudeket, rentrera vite à Paris où elle racontera ses impressions liées à la guerre dans son « Journal à rebours ».

En 1944 Colette annonce à son amie comédienne Marguerite Moreno que sa fille est venue à Paris pour se reposer après l’énorme travail qu’elle avait fait auprès des refugiés qu’elle avait abrités et elle avoue à son amie la fierté du fait que sa fille avait été la fondatrice et la présidente du Comité Sociale et Sanitaire.

Mais désormais Colette a 70 ans, nous sommes en 1943. Elle a peur de mourir et cela on le voit dans ses dernières lettres, dans lesquelles elle réclame de voir sa fille plus souvent.

En 1950 la petite Colette est antiquaire, elle habite à Paris, elle n’a pas beaucoup d’argent, elle commence à se consacrer à diffuser l’œuvre de sa mère qui, vieillissante et accablée par une arthrite à la hanche qui l’oblige désormais à ne plus sortir de chez elle, meurt quatre ans plus tard, en 1954.

Colette de Jouvenel, la petite Colette, meurt de cancer en 1981, elle avait 68 ans.

A ceux qui lui demandaient si sa mère avait été une maman affectueuse elle répondait que sa maman avait été différente des autres mamans, très différente et très exigeante. Elle répondait qu’elle lui avait appris à ne jamais mépriser les autres selon la morale courante et les lieux communs, à accepter les différences, à être poussée toujours par la curiosité.

Un jour on lui avait demandé : « Qu’est-ce que c’est avoir une maman si célèbre ? » - elle avait répondu – « Il faut toute une vie pour apprendre cela et s’en sortir ».

Marianna Esposito Vinzi

 

 

 

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